mercredi 6 mai 2009

Ce seront les policiers les assassins!

Mercredi 6 mai 2009. – J’abandonne la gestion du site de la Bibliothèque, comme je l'avais fait en décembre 2008 pour le site d'Apinc, ainsi que la moitié des blogues que j'ai créés (dont celui que vous lisez). Les policiers de Saint-Jérôme en auront eu raison. Je n’aurai donc plus la possibilité d’y faire des ajouts ou des corrections ou des modifications, même si je voulais. Le site demeure néanmoins en ligne.

HTML clipboardDes policiers (en civil, bien sûr), qui incitent des gens à m'agresser, tout en se tenant à courte distance, afin d'avoir un semblant de raison pour intervenir; ou bien qui incitent des automobilistes à provoquer un accrochage, afin de faire croire qu'ils sont légitimés d'intervenir; voilà la forme de harcèlement dont je fais l'objet de la part du service de police de Saint-Jérôme. Ils feront croire à un accident, ou peut-être même à un suicide, ou encore aussi peut-être à une disparition inexpliquée. (Le blogue)

* * *

L'ancien directeur de la police de Saint-Jérôme m’a fait à plusieurs reprises des menaces de mort, et m’a dit que « quoi qu’il arrive, ça ne ferait rien, que même si quelqu’un me tuait, il n’y aurait pas de poursuites contre la personne »... Ainsi, il incite les gens à m’agresser, voire à me tuer... Il m’a déjà dit que la prochaine fois qu’il m’aura sous la main, je regretterai d’être né.

Dans un magasin d’alimentation, par exemple, le directeur de la police ou un autre policier qui arrive, en civil et faisant son idiot, croyant que je ne vois rien, et qui incite les gens à venir me poignarder. Ou encore ce vendredi 11 novembre 2005, au marché Métro de Saint-Jérôme, deux policiers (un homme et une femme) tentent de m’agresser, et à l’extérieur il y a le directeur (directeur qui dirige quoi donc?) qui a incité un homme à me renverser avec sa voiture. Des exemples de ce genre je ne les compte plus.

On aurait alors sûrement dit partout, pour les journalistes et tout le monde, que j’étais un dangereux criminel, qui agressait des femmes, des enfants, que je voulais les violer, je suppose... Ou bien alors on aurait étouffé toute l’affaire, pour que ça ne fasse pas de bruit. Une chose est certaine : il ne faudra pas croire ce que dira mon épouse, et pas par mauvaise volonté : lors de l’affaire de Saint-Antoine (voir plus loin), elle a eu affaire à de grosses pressions pour qu’elle dise ce que les policiers voulaient qu’elle dise. Même avec la meilleure volonté, personne ne peut résister aux manigances de ces bandits.

Il ne faudra surtout pas prendre au pied de la lettre tout ce qui dira mon épouse, parce que les policiers feront de grosses pressions sur elle pour qu'elle dise ce qu'ils veulent qu'elle dise. Comme cela s'est passé dans l'histoire du policier meurtrier de Saint-Antoine. Un policier a même déjà dit: "elle fera pas d'histoire, sinon elle va la perdre sa grosse maison."

Ce n’est pas la première fois que l’on essaie de m’inculper pour des crimes, quels qu’il soit, et quand je dis inculper, je veux dire en essayant de me faire plaider coupable sans aucune forme de procès, ou alors en me traînant en justice, et en incitant le juge à me déclarer coupable sur-le-champ.

Le boucher de Trois-Pistoles

Rétablissons d’abord un fait important : à l’hiver 1972-1973 (j’avais 17 ans), j’ai témoigné contre le directeur de police de la ville de Trois-Pistoles, Léger Leclerc. Résultat : celui-ci a été contraint de démissionner; cependant il n’a jamais été inquiété pour les dizaines de meurtres qu’il a commis. En 1982 ou 1983, il a été tué par sa conjointe, qui, au procès, à été acquitté. Ce seul fait, d’avoir témoigné contre un grand pervers m’a valu toutes sortes d’embêtements.

Depuis quelques années, je croyais avoir quelque peu de répits, mais voilà que, depuis plusieurs mois, les policiers ne lâchent plus.

Pas moyen d’aller à la SAQ, ou à la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme, qu’un employé appelle la police, sans aucun prétexte. Il suffit de rien pour discréditer quelqu’un chez les bonnes gens. Il en arrive un justement, ou plutôt une, souvent, comme en octobre: elle était en civil, mais je l’entendais se présenter comme policière. Elle incitait une mère avec son enfant, à m’agresser, afin qu’elle puisse intervenir en toute légimité. Elle avait sorti un couteau. J’ai eu de la chance ce jour-là, tout simplement.

Le policier assassin de Saint-Antoine

Vers 91 ou 92 on m’a accusé d’avoir tué une femme à la Caisse populaire de Saint-Antoine. (En fait c’était l’une des nombreuse fois que l’on a essayé de m’inculquer de toutes sortes de choses). Cette fois-là, j’ai eu de la chance aussi, si on peut appeler ça de la chance. L’affaire a fait les manchettes, et on en a parlé beaucoup. Cette histoire est vérifiable en grande partie. Je ne la raconte pas mais suffit de chercher un peu...

Le très honnête Claude Poirier est même venu se parjurer en Cour, disant qu’il avait vu le vidéo. Ce qui n’était pas vrai, bien sûr. "Monsieur Crédibilité" avait une dent contre moi, parce que je lui avais dit qu’il était un téteux de flics. À la suite de cette affaire, le ministre de la sécurité publique de l’époque, Serge Ménard, s’était rendu au poste de police de Saint-Jérôme, avec l’intention de faire une enquête publique. Il avait été sérieusement tabassé par le directeur actuel de police, qui ne voulait absolument pas qu’il y ait d’enquête. Résultat : il n’y a pas eu d’enquête.

À l’hôpital de Sainte-Agathe

En décembre 1988, j’ai travaillé 8 ou 9 jours comme préposé au bénéficiaire. Il y a eu un patient en phase terminale d’un cancer du poumon. Il lui restait quelque jour à vivre. L’infirmière entrait dans sa chambre, et, refusant de lui donner de la morphine, ou autre chose, lui disait: « T’as voulu fumer, endure! » La soeur du patient qui venait le voir, a déposé une plainte. Voyant cela, l’infirmière s’est fâchée et est arrivée dans la chambre du patient, j’ai entendu les bruits de la bataille, et j’ai su par la suite que le patient avait eu tous ses bandages arrachés. Il est mort dans la soirée.

Je n’ai pas pu intervenir, car il y avait le préposé aux bénéficiaires qui était là et m’empêchait d’intervenir. Par hasard, tout à fait par hasard, les autres infirmières avaient toutes disparues du coin.

Soyez maudits, jusqu'à la fin des temps, et plus longtemps encore même!

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Jean-Yves Dupuis
Saint-Jérôme, Québec.

Page mise à jour: 6 mai 2009.


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Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices!


Harcèlement policier

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Les quatre meurtres des policiers de Saint-Jérôme