Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels.

Jeudi 29 janvier - Coin Madeleine et Claude, un chien de policier dans un 4X4 noir qui a engagé un travailleur de la ville sur un tracteur de déneigement à faire un accrochage. Je vous jure, un trou-de-cul fou furieux sur un tracteur de déneigement, faut voir ça; après ça, l'on se prend à douter de l'évolution de l'humanité. Hé hé! Le bandit de policier qui revient sur son chemin, déçu... Criss de bandit!

Samedi 31 janvier - Au Maxi de Saint-Jérôme, les bandits de policiers bien sûr appelés. Dans le stationnement, tandis qu'un bandit de policier se cache dans l'allée d'à-côté, une criss de folle de pute de policière qui arrive en trombe. Une truie dévertébrée... un véritable tas de merde... Dans le stationnement, un bandit de policier dans un 4X4 noir qui circule feignant de ne rien voir, en espérant provoquer un accrochage... La mafia policière est à l'oeuvre.

Les employées du Maxi de Saint-Jérôme sont la merde de l'humanité.

Et, même jour, à la SAQ de Bellefeuille, une maudite employée à l'air folle furieuse dans les allées et hypocrite... calmez-vous! calmez-vous, ma bonne dame! ce n'est pas bon pour le coeur. Une petite tisane peut-être! ou bien il faut faire de la relaxation... criss de folle!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Ah oui, bien avant que je publie le billet précédent, soit jeudi, j'ai vu que ce que j'ai écrit à propos du ministre de la sécurité publique avait donné des résultats, car jeudi j'ai entendu un bandit de policier dire: "Il a encore écrit au ministre..."; et c'était avant la publication du billet. Eh ben, oui...
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Au ministre de la sécurité publique.

Plus bas, copie d'un second courriel envoyé au ministre de la sécurité publique, M. Jacques P. Dupuy (photo ci-contre). Probablement, il ne fera rien, ou il aura peur de faire quelque chose, étant donné que son prédécesseur, Serge Ménard, alors ministre à ce même ministère, s'est fait tabasser dans le poste de police de Saint-Jérôme.

François Reynaert, chroniqueur au Nouvel Observateur, dans un article il y a quelques années, avait bien raison d'intituler son papier: "La violence policière est la plus grande menace à la démocratie."

Ici au Québec, non seulement on tolère la mafia policière, mais on la paie.

Voici le courriel envoyé:

Bonjour M. le ministre,
Pour faire suite à un courriel que je vous envoyais il y a quelques mois, dénonçant le harcèlement dont je fais l'objet de la part du service de police de Saint-Jérôme, je voudrais savoir si vous comptez faire quelque chose. J'espère bien que vous ne comptez pas laisser ces bandits faire leur propre loi et commettre des meurtres impunément.
En tout cas, j'ai publié le courriel déjà envoyé et je publierai celui-ci sur mon site.
Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.
Jean-Yves Dupuis.
Saint-Jérôme.
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bande de criminels pourris!

Vous pensez sans doute que vous allez pouvoir vous emparer de mon ordinateur, puis tout enlever du site et des blogs, eh bien continuez de le penser, bande de criminels pourris! Je n'ai même pas besoin de me retrouver devant mon ordinateur, pour abandonner tous les mots de passe, et même l'accès à mon ordinateur. Pffft! et si des fins-fins s'imaginent que l'on peut retrouver des mots de passe en contactant les administrateurs des serveurs, j'y ai songé aussi. Alors, allez-y, provoquez-en un accident, bande de pourris!

Moi non plus je ne serai plus capable, même si je le voulais, d'utiliser mon ordinateur.

Le directeur par intérim du Service de police de Saint-Jérôme, Danny Paterson, est un criminel.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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C'est un criminel!

Jeudi 29 janvier en avant-midi, aux Galeries des Laurentides. Une pute de policière dans un gros 4X4 qui vient faire son tour, se stationne juste devant moi, jase au téléphone, bois son café, fume, fume, puis décampe. Juste un peu plus tard, une autre chien de policier dans une auto noire qui vient se stationner tout juste au même endroit. Criss de bandits! Les deux boivent du même bon café du même resto en face (mangeux de beignes!) et ont les mêmes premières lettres d'immatriculation. FCC ou quelque chose de semblable...

Un peu plus tard, le chien de bandit de policier dans son auto noire qui me suit, incitant bien sûr des automobilistes à provoquer un accrochage. Sur la rue Labelle, puis sur Fournier, où il y a entre autres, une vieille pute dans une auto, un cadavre de bonne femme, vieille comme une tortue des Galapagos... pouah!

C'était bien facile de les reconnaître, ces deux chiens-là, ils faisaient tout pour ne pas regarder de mon côté. Hypocrites, mais pas bons comédiens...

Il fallait voir cette autre pute de policière qui s'en va se stationner au fond du stationnement des Étals, pour faire son petit jeu d'hypocrite. Une pute qui sent le négligé, doit avoir des maladies, pouah! quand elle parle, les mouches autour d'elle tombe mortes, tant toute sa personne est venimeuse. Un déchet humain non identifié.

J'ai eu ma réponse: le directeur par intérim du Service de police de Saint-Jérôme, Danny Paterson (photo ci-contre), est soit une moumoune, soit un criminel...

Une moumoune, parce qu'il n'est pas capable de mettre aux pas ses employés...

Ou criminel, parce qu'il est complice de leurs agissements, et donc tout aussi coupable que ses employés...

Je penche plutôt pour ce dernier choix.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont des criminels.
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Danny Paterson, directeur par intérim du Service de police de Saint-Jérôme.

Photo ci-contre: Danny Paterson, directeur par intérim du Service de police de Saint-Jérôme, depuis le premier janvier.

S'il ne fait rien pour arrêter le harcèlement dont je fais l'objet et la conduite criminelle des policiers de Saint-Jérôme, il est aussi criminel qu'eux.

C'est à voir.
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Les employées du Métro de Saint-Jérôme sont des criminelles.

Samedi 24 janvier - Au Métro de Saint-Jérôme. Des caissières abruties, des empaqueteux insignifiants... Tous les trous-de-culs se sont rassemblés au Métro de Saint-Jérôme. Vont bien avec les bandits de policiers qu'ils aiment bien appeler...

À l'intérieur, samedi, deux bandits de policiers (il et elle) qui font semblant d'évaluer les p'tits repas congelés dégueulasses mais qui, en fait, complotent. Je les reconnais facilement. Ce sont les même qui se retrouvent dans le stationnement, dans une vieille camionnette, stationnée près de ma voiture. Tiens, ils ont changé leur 4X4 noir. Criss de bandits puants!

Et à la sortie, le même petit trou-de-cul mal habillé (il veut compétitionner avec la chienne à Jacques!) que j'avais vu au IGA de Bellefeuille l'autre jour (le trou-de-cul à l'érection fulgurante et incontrôlable! hum... il a dû éjaculer dans ses bas depuis...) Tout aussi hypocrite que les autres bandits de policiers et l'air aussi fou furieux... woof woof! Tu sais, man, la rage ça se soigne, Louis Pasteur a trouvé un vaccin il y a plus de cent ans. Fais toi soigner, trou de cul!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes sont leurs complices.
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Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Samedi 24 janvier aux Étals, d'autres bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, qui manigancent pour faire un accrochage, bien sûr en communication avec des chiens de policiers. La pute, stationnée dans son 4X4 à côté de moi, une autre pute qui s'arrête en plein milieu du stationnement, et une autre stationnée dans la rue... probablement des bandits de policières... Ils prennent vraiment n'importe qui dans la police; suffit qu'un pervers se présente et on l'engage; ça doit être un prérequis pour entrer dans la police. Bande de criminels! Saint-Jérôme, vraiment c'est une ville fasciste. Rien à envier à l'Italie de Mussolini ou à l'Allemagne d'Hitler. Sauf qu'ici tout se fait hypocritement, avec soit la complicité ou le silence rampant de sa population.

Quelques bandits de Saint-Jérôme. Et depuis le 1er janvier on a un nouveau parrain de la mafia locale.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Parmi celles-ci, elles occupent une place particulière:

- les employées des Métro de Saint-Jérôme et du IGA de Bellefeuille;

- ou les bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme;

- ou encore, parmi tant d'autres, la vieille rouleau, ou le ti-tas à Charlotte...

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont les excréments de l'humanité.

Une bonne femme fasciste, c'est quelqu'un, à l'image des bandits de policiers, qui s'imaginent avoir tous les droits (la fémme, c'est pas pareil, on a le droit nous autres!)... c'est quelqu'un de petit, qui veut que tout autour d'elle reste petit comme elle (j'ai rien fait de bon dans ma vie, mais je veux que ça soit la même chose pour les autres!), qui n'hésite pas à utiliser ses enfants pour faire ses mauvais coups; c'est quelqu'un d'hypocrite, de mesquin, d'absolument détestable et monstrueux... juste en les regardant, en voyant leur face haineuse et sournoise, on a envie de dégueuler...

Vous reconnaissez-vous?

Au Métro de Saint-Jérôme

Samedi 24 janvier au Métro de Saint-Jérôme - à l'accueil, une vieille pute dégueulasse, hypocrite, repoussante, la petitesse et la bassesse imprimée sur le visage, tout ce qui y a de plus répugnant dans le monde: un tas de merde sur deux pattes...

Et bien sûr un chien puant de bandit de policier qui l'encourage à m'agresser. Il zigonne, vient faire son tour en hypocrite, va placoter avec la première caissière, avec son air fou furieux...

Ce fou furieux de policier et cette bonne femme débile, ça devrait être beau à voir, à baiser ensemble. Deux tordus semblables dans le même lit! Hé hé! ça doit faire des flammèches!

Maudite ville puante!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

* * * * * * * * *

Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste!

Voici des êtres ignobles de Saint-Jérôme:

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, qui appellent la police aussi souvent qu'elles se grattent le cul…

- La tom boy au gros cul du Marché 5 saveur.

- Les employés criminels du Métro de Saint-Antoine.

- Au IGA de Bellefeuille, les caissières puantes.

- la criss de bonne femme rouleau, pour l'ensemble de son oeuvre.

- Les caissières du marché 4 saveurs sont la pourriture de l'humanité.

- les policiers de Terrebonne, qui sont aussi hypocrites et criminels que ceux de Saint-Jérôme... et les bandits du Unipro feraient bien mieux de payer leurs impôts plutôt que de faire la moitié du travail au noir!

- le brave Claude Poirier, "bien connu des milieux policiers", téteux de beux, qui n'hésite pas à se parjurer... Tiens, un bel article ici de Patrick Lagacé sur ce sombre individu.

- les fachos de banlieue...

- les folles puantes du Maxi de Saint-Antoine ou de Saint-Jérôme.

- les énergumènes de Chez Lorrain, à Prévost.

- les vieilles putes de bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme.

- les bandits du Métro de Saint-Jérôme.

- les sorcières de la SAQ de Saint-Jérôme et de la Caisse populaire.

Mais aussi les bandits de la SAQ de Saint-Joseph du Lac et les bandits de policiers de ce même trou à rat.

Mais aussi Charlotte, de Rawdon, un ti-tas gros et court, mesquin et bête... Un être répugnant; peut bien avoir une fille angoissée, avec une mère semblable! et ça c'est directrice d'une école primaire à Rawdon... criss!

* * * * * * *

Les bandits de policiers sont moins pressés d’arrêter le policier qui a tué une femme à la caisse populaire de Saint-Antoine, ou encore celui retraité de la SQ qui a tué, pour le plaisir, en compagnie de sa femme, un jeune garçon dans un dépanneur de Prévost. Criss de bandits!

Au début des années 90, dans un magasin de musique, au Galerie des Laurentides, à Saint-Antoine, il y avait la vieille pute qui tenait le comptoir, alors que j'étais venu simplement pour acheter une cassette (Richard Desjardins, "Tu m'aimes-tu?", ça situe l'époque!) qui m'incitait à aller agresser un jeune garçon, qui ne faisait que fureter dans les disques, sans qu'il y ait aucune raison de croire qu'il pouvait être dangereux. La vieille pute, naturellement, appelle la police - c'est une habitude chez les vieilles putes de Saint-Jérôme -. Il arrive un criss de bandit de policier, dit deux ou trois mots à la vieille pute, et sans avertir, froidement, dégaine son arme et tue le jeune homme. On a sûrement dit que le jeune voulait faire un hold-up et qu'il avait une arme, le policier avait tiré pour sa défense... Criss de bandit de policiers! Une maudite mafia!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste.

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Au IGA de Bellefeuille (3)

Dimanche 18 janvier - Il fallait voir ce chien puant de bandit de criminel de policier dans son 4X4 noir attendant à la sortie du IGA de Bellefeuille. Me suivant chez Sears, puis aux Étals, faisant toujours son petit jeu, d'inciter les automobilistes à provoquer un accrochage. Un être immonde, fou furieux, bavant de rage, probablement ayant aussi des pertes urinaires tellement qu'il ne peut plus se contrôler. Un monstre, un pit-bull, un être complètement débile, à enfermer. Ils prennent vraiment n'importe qui dans la police!

Bien sûr, les bandits de policiers, ça se pense au-dessus des lois, ça a tous les droits. Et des bonnes femmes fascistes qui sont leurs complices, et des bonhommes téteux et rampants, des bande-mous, qui sont de même. La population de Saint-Jérôme est vraiment le rebut de l'humanité.

Les employés du IGA de Bellefeuille sont des criminels.

Et les jeunes trous-de-culs que j'ai revus chez Sears. J'ai jamais vu autant de mongols en aussi peu de temps.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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Au IGA de Bellefeuille (2)

Dimanche 18 janvier - au IGA de Bellefeuille - l'espèce d'étron de policier qui attend à la sortie du magasin, dans un 4X4 noir, la pute de policière s'y engouffre, ils me suivent, bien sûr, jusque chez Sears et aux Étals, incitant des automobilistes à provoquer un accrochage... c'est le meilleur moyen de vous mettre encore plus dans la merde, ça s'est sûr...

Et il y en avait deux autres chiens de policiers attendant aussi - un dans un espace pour handicapés, et l'autre attendant pas loin de ma voiture, ne prenant pas même le temps de se garer. Criss de chiens pourris!

Criss de chiens puants de policiers! Maudits bandits! Tas de scélérats!

Combien vous avez tué de personnes depuis le début de l'année? les avez-vous comptées?

Ces chiens-là, au IGA de Bellefeuille, ils avaient réquisitionné un jeune trou-de-cul, et lui et sa gang de mongols se retrouvaient aussi chez Sears, à comploter...

Le jeune trou-de-cul avec le fond de culotte aux genoux, je l'imagine facilement:
- Heil man, j'ai une érection... wow! c'est capotant!
- Qu'est-ce que tu vas faire avec ça?
- J'le sais-tu, moé! Faut que je trouve une fille, ça presse...

La vieille pute à rouleau - la vieille pute à rouleau - la vieille pute à rouleau...

Les employés du IGA de Bellefeuille sont vraiment des êtres méprisables et en dessous de tout.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
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Au IGA de Bellefeuille

Dimanche 18 janvier - au IGA de Bellefeuille - les bandits de policiers bien sûr appelés, comme je m'y attendais évidemment. Aux caisses, une pute de policière abrutie, qui incite un trou-de-cul d'adolescent à aller m'agresser (le genre de trou-de-cul avec le fond de culotte aux genoux, heil man! si jeune et déjà si pervers... qu'est-ce qu'il va devenir? sûrement un policier...)

La pute de policière qui accourt jusqu'à la sortie, sur les basques de l'adolescent vicieux... à l'extérieur, arrive en trombe un puant de policier, le genre fou furieux, fou furieux, fou furieux... D'autres trous-de-culs de policiers qui attendent dans le stationnement que la merde se fasse...

Les policiers de Saint-Jérôme forment vraiment une mafia.

Jamais je ne ferai confiance à des bandits de policiers...

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Cette semaine, coin Bélanger et Saint-Georges, un chien puant de policier dans une voiture banalisé stationnée près de la buanderie, qui incite des automobilistes à provoquer un accident, entre autres une bonne femme fasciste dans un gros VUS. Puis qui me suit sur la rue le long du centre d'achat. Une face de rat, un chien pourri!

Vous pensez vraiment que vous allez avoir accès à mon ordinateur, bande de criminels! détrompez-vous, et il suffirait de seulement d'un accrochage pour que vous vous en rendiez vite compte. Allez-y! et c'est vous autres qui serez dans le trouble, plus que vous ne l'êtes encore. Je ne dis que cela. Mais vous ne devez pas savoir ce que je veux dire. Probablement que vous connaissez mieux tous les sites pornos sur Internet plus que n'importe quoi d'autre. Bande de nuls! Un plus un, ça fait combien?

Bandes de salauds puants!

Saint-Jérôme est le trou de cul de l'univers.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Nouveaux blogues

Vendredi 16 janvier - dix autres nouveaux blogues créés, bien sûr immédiatement référencés sur Google.

[ 00 ] - [ 01 ] - [ 02 ] - [ 03 ] - [ 04 ] - [ 05 ] - [ 06 ] - [ 07 ] - [ 08 ] - [ 09 ]

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices, et particulièrement les caissières débiles du Métro de Saint-Jérôme.

Au Métro de Saint-Jérôme (5)

Jeudi 15 janvier - au Métro de Saint-Jérôme, un trou de cul d'employé dans son camion de livraison qui manigance pour faire un accrochage. Sûrement qu'il a eu le feu vert des bandits de policiers, qui se cachent dans le stationnement. C'est le genre de trou-de-cul avec une crevette à la place du cerveau.Probablement, qu'il voulait bien se faire voir des bandits de policiers, ou qu'il voulait baiser avec l'une des caissières qui étaient dehors à l'entrée. Ça devait faire longtemps qu'il a l'oeil dessus. Il se masturbe le soir en pensant à elle. Zing zing zing oh mon amour! zing zing zing.

Les deux bandits de policiers se cachent. Bien sûr ils sont sans uniformes. L'un des deux a l'air particulièrement pervers, la face toute convulsionnée, complètement disjoncté. Une sorte de pitbull sur deux pattes, bavant, fou de rage, abruti, complètement débile. Un fou à enfermer. Un véritable monstre! Il vient se poster, un peu plus loin, à la station d'essence. Puis il me suit sur la rue. Et sur la rue Fournier, il a bien sûr averti un autre bandit de policier, qui passe sur un stop en coup de vent, espérant faire un accident.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des rats! Et les employés du Métro de Saint-Jérôme sont des criminels!

Saint-Jérôme est vraiment une ville fasciste. Les policiers y sont des criminels. Les citoyens, quand ils ne sont pas leurs complices, y sont rampants, abrutis, des êtres ignobles.

Saint-Jérôme est le dépotoir de la civilisation.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

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Au Métro de Saint-Jérôme (4)

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices. Les bonnes femmes fascistes? Les employées du Métro de de Saint-Jérôme en sont les exemples les plus typiques.

Des putes qui n'ont jamais rien fait de bon ni d'utiles, des êtres en dessous de tout, puant de bêtises, insignifiantes, rasant la nullité. Des voleuses. Des êtres méprisables.

Et méprisables aussi comme cet étron de policier, qui, sur rue Labelle, jeudi 15 janvier en avant midi, l'air insignifiant comme une tortue empaillée, qui incite des automobilistes à provoquer un accrochage, dont une vieille pute dégueulasse...

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont le rebus de l'humanité.

En fait, comme les putes de chez Ital-Nord, ou l'espèce de vieux schenoque qui y sévit, un espèce de moignon...

Ou la grosse Charlotte de Rawdon...

Bande de nulles...

Au Métro de Saint-Jérôme (3)

Les employées du Métro de Saint-Jérôme sont des criminelles. Le genre de pouffiasses à pas se laver le cul, à voler dans la caisse, et à médire contre le monde entier. Ça a jamais rien fait de bon, c'est nul, des petits monstres en puissance. De véritables trous-de-culs.

Tout ce qui compte de chiens pourris de policiers étaient probablement là ce samedi après-midi: Face-de-rat au bout des caisses, la pute de policière aussi, l'autre, la vieille coincée du cul, un tas de bandits repoussants...

La pute de policière, par exemple, est à vomir, une pute dégueulasse, qui est dans la police juste pour un petit trip de pouvoir, faisant de la merde, et probablement aussi voulant mettre toute la responsabilité sur les autres policiers. Comme celle qui, en compagnie de 4 autres, ont assassiné Barnabé et s'en est tiré. "Vade retro me, Satana." (Éloigne-toi de moi, Satan!)

Les gens de Saint-Jérôme sont vraiment en dessous de tout.

Ça pue, c'est petit et ça aime tout ce qui est petit, c'est mesquin, c'est sournois... Et ça se rassemble avec leurs semblables.

Des bonnes femmes haineuses, fascistes, complices des bandits de policiers, qui utilisent leurs enfants pour faire leurs mauvais coups. Des moitiés de bonhommes, téteux de bonnes femmes, rampant...

Bande de fachos!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Au Métro de Saint-Jérôme (2)

Samedi 10 janvier - au Métro de Saint-Jérôme, fallait voir la mocheté incroyable, à la sortie, une vieille puante complice des deux puants de policiers s'amusant avec des canettes. Un étron sur deux pattes. Elle sentait le négligé... doit être célibataire... ou coincé du cul... c'est pour ça qu'elle a l'air d'un serpent veuuuunimeux... on fait passer le flux comme on peut...

Et que dire de ce bandit de policier au fond du magasin, qui rapaillait les clients, attendant que la merde se fasse. Et de cette pute de policière qui vient reluquer dans sa voiture, dans le stationnement... Elle avait délaissé un moment la rue, pour venir faire son petit show... une pute de rue...

Les puantes de caissière du Métro de Saint-Jérôme: elles sont tellement hypocrites, qu'elles en ont des urines rouges, épaisses et sanguinolentes... beuark! et voleuses en plus: une fois, j'en ai vu une, avec probablement sa vieille mère comme cliente, qui passait plusieurs articles juste au dessus de la machine, comme si rien n'était... de toute façon, c'est connu, ce sont les employés qui volent le plus dans les magasins, pas les clients...

Policiers, vous êtes des lâches! des lâches!

Le genre de lâches qui se mettent à dix pour tuer une mouche. Et après ils se croient très braves. Tout ragaillardis, ils sont tout fins prêts pour la traditionnelle sauterie de la fin de semaine. "Moi je bouge pas, j'ai eu une dure journée aujourd'hui!"

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Au Métro de Saint-Jérôme

Samedi 10 janvier au Métro de Saint-Jérôme. - Les bandits de policiers bien sûr appelés, comme je m'y attendais. Dans les rangées deux policières hypocrites qui manigancent; puis à la sortie deux autres criss de policiers tout aussi hypocrites qui s'amusent avec les machines à canettes, en faisant semblant de rien. Mais c'est écrit dans vos faces que vous êtes des chiens de policiers. C'est vraiment beau le métier de policiers! Criss de chiens pourris! Combien de personnes vous avez tuées depuis le 1er janvier?

Les employés du Métro de Saint-Jérôme sont des criminels, et particulièrement les deux débiles de l'accueil qui ont l'air de deux abruties empaillées.

Dans le stationnement, un criss de bandit de policier avec sa vieille pute défraîchie, qui manigancent quelque chose. La pute a vraiment l'air d'un fond de pot de chambre. Beuark! Ils incitent bien sûr quelqu'un à m'agresser.

De toute façon, bandits de policiers, que ce soit quelqu'un d'autres ou vous autres, qui faites le travail, ce sera bien sûr que ce sera vous qui serez derrière tout ça. Criss de bandits!

Policiers, vous êtes des chiens!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont, comme je l'ai déjà écrit, sont les excréments de l'humanité.

Bandes de fachos, tous!

"C'est moé le boss icitte!"

La criss de bonne femme rouleau: une fiente dégueu! Elle aime tellement les bandits de policiers, elle ferait n'importe quoi, elle est prête à se mettre à quatre pattes:

Elle: Prends-moé par derrière! Prends-moé par derrière! Prends-moé par derrière!

Lui: Lave ton cul avant! Lave ton cul avant! Lave ton cul avant!

Et en éjaculant, le bandit de policier gueule, ou plutôt éructe: "C'est moé le boss icitte!"

Criss, un homme des cavernes avaient sûrement plus de classe! On n'évolue pas, on avance en arrière! La civilisation ne s'est pas arrêtée à Saint-Jérôme.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

* * * * * * * * *

Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste!

Voici des êtres ignobles de Saint-Jérôme:

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, qui appellent la police aussi souvent qu'elles se grattent le cul…

- La tom boy au gros cul du Marché 5 saveur.

- Les employés criminels du Métro de Saint-Antoine.

- Au IGA de Bellefeuille, les caissières puantes.

- la criss de bonne femme rouleau, pour l'ensemble de son oeuvre.

- Les caissières du marché 4 saveurs sont la pourriture de l'humanité.

- les policiers de Terrebonne, qui sont aussi hypocrites et criminels que ceux de Saint-Jérôme... et les bandits du Unipro feraient bien mieux de payer leurs impôts plutôt que de faire la moitié du travail au noir!

- le brave Claude Poirier, "bien connu des milieux policiers", téteux de beux, qui n'hésite pas à se parjurer... Tiens, un bel article ici de Patrick Lagacé sur ce sombre individu.

- les fachos de banlieue...

- les folles puantes du Maxi de Saint-Antoine ou de Saint-Jérôme.

- les énergumènes de Chez Lorrain, à Prévost.

- les vieilles putes de bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme.

- les bandits du Métro de Saint-Jérôme.

- les sorcières de la SAQ de Saint-Jérôme et de la Caisse populaire.

Mais aussi les bandits de la SAQ de Saint-Joseph du Lac et les bandits de policiers de ce même trou à rat.

Mais aussi Charlotte, de Rawdon, un ti-tas gros et court, mesquin et bête... Un être répugnant; peut bien avoir une fille angoissée, avec une mère semblable! et ça c'est directrice d'une école primaire à Rawdon... criss!

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Les bandits de policiers sont moins pressés d’arrêter le policier qui a tué une femme à la caisse populaire de Saint-Antoine, ou encore celui retraité de la SQ qui a tué, pour le plaisir, en compagnie de sa femme, un jeune garçon dans un dépanneur de Prévost. Criss de bandits!

Au début des années 90, dans un magasin de musique, au Galerie des Laurentides, à Saint-Antoine, il y avait la vieille pute qui tenait le comptoir, alors que j'étais venu simplement pour acheter une cassette (Richard Desjardins, "Tu m'aimes-tu?", ça situe l'époque!) qui m'incitait à aller agresser un jeune garçon, qui ne faisait que fureter dans les disques, sans qu'il y ait aucune raison de croire qu'il pouvait être dangereux. La vieille pute, naturellement, appelle la police - c'est une habitude chez les vieilles putes de Saint-Jérôme -. Il arrive un criss de bandit de policier, dit deux ou trois mots à la vieille pute, et sans avertir, froidement, dégaine son arme et tue le jeune homme. On a sûrement dit que le jeune voulait faire un hold-up et qu'il avait une arme, le policier avait tiré pour sa défense... Criss de bandit de policiers! Une maudite mafia!

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Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Samedi, à la sortie du IGA de Bellefeuille, une pute de policière qui me suit dans son auto, communique avec d'autres chiens de policiers, sur la rue près de la rivière, afin qu'ils provoquent un accident...

Des chiens puants de policiers! Après ça, ça va jouer les honnêtes gens, ceux qui n'ont jamais rien à se reprocher. Bandes d'hypocrites! De toute façon, ils ne sont jamais tenus responsables de rien, ces bandits-là. Comme je l'ai déjà écrit, les policiers, les avocats, les juges, les petits journalistes, ça couche dans le même lit. "Je te fais une pipe, tu me fais une pipe!"

Ces bandits-là, ça n'hésite même pas à tabasser des ministres dûment élus, pour obtenir ce qu'ils veulent, comme ils ont fait avec Serge Ménard, alors ministre de la sécurité publique.

Une maudite mafia!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, ce sont, entre autres, ces bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme.

Ou encore la vieille rouleau, aussi sirupeuse et hypocrite qu'on peut l'être. Un être à vomir!

Ou encore la tite grosse charlotte, un être répugnant; peut bien avoir une fille angoissée, avec une mère semblable! et ça c'est directrice d'une école primaire à Rawdon... criss!

Ou encore les caissières criminelles des IGA ou du Métro de Saint-Jérôme...

Saint-Jérôme, une ville en dessous de tout. Le trou!

Au IGA de Bellefeuille

Quelques personnages absolument méprisables qu'il y avait ce samedi 3 janvier au IGA de Bellefeuille:

- deux trous de culs d'une compagnie de charroyage d'argent; dont l'un qui essaie de se cacher, s'il avait pu rentrer dans le mur, il l'aurait fait.

- dans les allées, une espèce de fouine de policier, à l'air vicieux; quand on le regardait, on ne pouvait pas se dire que ce sale type est un grand pervers, un pervers irrécupérable; je me demande comment il a pu tuer de personnes dans sa vie, je parierais qu'il ne les a pas même compté. À un moment donné, il avait réquisitionné un employé, et lui courait derrière. Un monstre, je vous dis. Ce qu'il y a de plus méprisable dans l'espèce humaine. Un rat!

- d'autres trous-de-culs de policiers qui se cachent à la première caisse. des faiseux de merde. et une petite caissière, ignoble, d'une nullité sans nom, qui est leur complice. Les employés du IGA de Bellefeuille sont des êtres répugnants.

Et bien sûr, un peu plus tard, coin Saint-Georges et Bélanger (c'est leur coin préféré), deux bandits de policiers (il et elle) dans un 4X4, qui essaient bien sûr d'inciter des automobilistes à provoquer un accrochage. Criss de bandits!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Des bandits de policiers

Samedi 3 janvier vers midi - dans le stationnement du IGA de Bellefeuille, deux bandits de policiers (il et elle) qui arrivent à l'épouvante dans un 4X4, puis qui branlent dans le manche, enfin se décident à inciter une vieille pute fasciste de Saint-Jérôme à côté à commettre à leurs places leurs méfaits. Criss de bandits puants!

La vieille pute a l'air d'un étron pourri. Le genre à médire contre le monde entier et particulièrement sa belle soeur.

Puis à l'intérieur ces deux bandits de policiers qui délèguent deux agents hypocrites (ceux qui transportent l'argent) à simuler probablement comme un vol ou une agression, qu'importe... et voilà mes deux étrons de policiers à la sortie, qui arrivent, tout égarouis, l'air complètement fou, les yeux sortis de la tête, et déçus que la merde ne soit pas encore faite. Criss de bandits! criss de bandits!

Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des bandits pourris, des criminels complètement irrécupérables, à enfermer tout de suite.

Et les employés du IGA de Bellefeuille sont des criminels aussi, leurs complices.

Saint-Jérôme, vraiment, est une ville de trous-de-culs, de gens nuls, épais, hypocrites. Bande de fachos!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Une maudite mafia

Mercredi 31 décembre - aux Étals, Face-de-rat, fou furieux, complètement disjoncté, avec une policière débile, qui incite bien sûr des automobilistes à provoquer un accrochage, et qui me suivent sur la rue, Saint-Georges, Labelle puis Parent... criss de bandits!

Les bandits de policiers forment vraiment une mafia.

J'ai une bonne surprise pour vous autres. criss de bandits!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.