vendredi 16 janvier 2009

Au Métro de Saint-Jérôme (5)

Jeudi 15 janvier - au Métro de Saint-Jérôme, un trou de cul d'employé dans son camion de livraison qui manigance pour faire un accrochage. Sûrement qu'il a eu le feu vert des bandits de policiers, qui se cachent dans le stationnement. C'est le genre de trou-de-cul avec une crevette à la place du cerveau.Probablement, qu'il voulait bien se faire voir des bandits de policiers, ou qu'il voulait baiser avec l'une des caissières qui étaient dehors à l'entrée. Ça devait faire longtemps qu'il a l'oeil dessus. Il se masturbe le soir en pensant à elle. Zing zing zing oh mon amour! zing zing zing.

Les deux bandits de policiers se cachent. Bien sûr ils sont sans uniformes. L'un des deux a l'air particulièrement pervers, la face toute convulsionnée, complètement disjoncté. Une sorte de pitbull sur deux pattes, bavant, fou de rage, abruti, complètement débile. Un fou à enfermer. Un véritable monstre! Il vient se poster, un peu plus loin, à la station d'essence. Puis il me suit sur la rue. Et sur la rue Fournier, il a bien sûr averti un autre bandit de policier, qui passe sur un stop en coup de vent, espérant faire un accident.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des rats! Et les employés du Métro de Saint-Jérôme sont des criminels!

Saint-Jérôme est vraiment une ville fasciste. Les policiers y sont des criminels. Les citoyens, quand ils ne sont pas leurs complices, y sont rampants, abrutis, des êtres ignobles.

Saint-Jérôme est le dépotoir de la civilisation.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

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