mardi 13 janvier 2009

Au Métro de Saint-Jérôme (3)

Les employées du Métro de Saint-Jérôme sont des criminelles. Le genre de pouffiasses à pas se laver le cul, à voler dans la caisse, et à médire contre le monde entier. Ça a jamais rien fait de bon, c'est nul, des petits monstres en puissance. De véritables trous-de-culs.

Tout ce qui compte de chiens pourris de policiers étaient probablement là ce samedi après-midi: Face-de-rat au bout des caisses, la pute de policière aussi, l'autre, la vieille coincée du cul, un tas de bandits repoussants...

La pute de policière, par exemple, est à vomir, une pute dégueulasse, qui est dans la police juste pour un petit trip de pouvoir, faisant de la merde, et probablement aussi voulant mettre toute la responsabilité sur les autres policiers. Comme celle qui, en compagnie de 4 autres, ont assassiné Barnabé et s'en est tiré. "Vade retro me, Satana." (Éloigne-toi de moi, Satan!)

Les gens de Saint-Jérôme sont vraiment en dessous de tout.

Ça pue, c'est petit et ça aime tout ce qui est petit, c'est mesquin, c'est sournois... Et ça se rassemble avec leurs semblables.

Des bonnes femmes haineuses, fascistes, complices des bandits de policiers, qui utilisent leurs enfants pour faire leurs mauvais coups. Des moitiés de bonhommes, téteux de bonnes femmes, rampant...

Bande de fachos!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.



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