lundi 5 janvier 2009

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Samedi, à la sortie du IGA de Bellefeuille, une pute de policière qui me suit dans son auto, communique avec d'autres chiens de policiers, sur la rue près de la rivière, afin qu'ils provoquent un accident...

Des chiens puants de policiers! Après ça, ça va jouer les honnêtes gens, ceux qui n'ont jamais rien à se reprocher. Bandes d'hypocrites! De toute façon, ils ne sont jamais tenus responsables de rien, ces bandits-là. Comme je l'ai déjà écrit, les policiers, les avocats, les juges, les petits journalistes, ça couche dans le même lit. "Je te fais une pipe, tu me fais une pipe!"

Ces bandits-là, ça n'hésite même pas à tabasser des ministres dûment élus, pour obtenir ce qu'ils veulent, comme ils ont fait avec Serge Ménard, alors ministre de la sécurité publique.

Une maudite mafia!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, ce sont, entre autres, ces bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme.

Ou encore la vieille rouleau, aussi sirupeuse et hypocrite qu'on peut l'être. Un être à vomir!

Ou encore la tite grosse charlotte, un être répugnant; peut bien avoir une fille angoissée, avec une mère semblable! et ça c'est directrice d'une école primaire à Rawdon... criss!

Ou encore les caissières criminelles des IGA ou du Métro de Saint-Jérôme...

Saint-Jérôme, une ville en dessous de tout. Le trou!




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