Samedi 24 janvier aux Étals, d'autres bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, qui manigancent pour faire un accrochage, bien sûr en communication avec des chiens de policiers. La pute, stationnée dans son 4X4 à côté de moi, une autre pute qui s'arrête en plein milieu du stationnement, et une autre stationnée dans la rue... probablement des bandits de policières... Ils prennent vraiment n'importe qui dans la police; suffit qu'un pervers se présente et on l'engage; ça doit être un prérequis pour entrer dans la police. Bande de criminels! Saint-Jérôme, vraiment c'est une ville fasciste. Rien à envier à l'Italie de Mussolini ou à l'Allemagne d'Hitler. Sauf qu'ici tout se fait hypocritement, avec soit la complicité ou le silence rampant de sa population.Quelques bandits de Saint-Jérôme. Et depuis le 1er janvier on a un nouveau parrain de la mafia locale.
Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.
Parmi celles-ci, elles occupent une place particulière:
- les employées des Métro de Saint-Jérôme et du IGA de Bellefeuille;
- ou les bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme;
- ou encore, parmi tant d'autres, la vieille rouleau, ou le ti-tas à Charlotte...
Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont les excréments de l'humanité.
Une bonne femme fasciste, c'est quelqu'un, à l'image des bandits de policiers, qui s'imaginent avoir tous les droits (la fémme, c'est pas pareil, on a le droit nous autres!)... c'est quelqu'un de petit, qui veut que tout autour d'elle reste petit comme elle (j'ai rien fait de bon dans ma vie, mais je veux que ça soit la même chose pour les autres!), qui n'hésite pas à utiliser ses enfants pour faire ses mauvais coups; c'est quelqu'un d'hypocrite, de mesquin, d'absolument détestable et monstrueux... juste en les regardant, en voyant leur face haineuse et sournoise, on a envie de dégueuler...
Vous reconnaissez-vous?
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