Mercredi 15 octobre - dans le stationnement des Étals, des bandits de policiers bien sûr appelés, probablement par cette bonne femme fasciste de Saint-Jérôme, qui avait une cougar noire, stationnée près de la mienne, et qui faisait son hypocrite au téléphone... Criss de puante! Arrive une vieille pute de policière qui vient aussi stationner sa voiture à côté de la mienne, reste dedans, et incite des automobilistes à provoquer un accrochage, ou encore incite deux vieux déchets, dans une camionnette, à faire un mauvais coup. Une vieille pute avec le visage tout décomposé, l'air frustré complètement, un restant de restant. Puis au fond deux trous de culs de policiers, qui viennent sentir aussi. Je les revois un peu plus tard, rue Labelle; le chauffeur a l'air aussi frustré et débile que la pute de tout à l'heure. Quels beaux spécimens! Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels, et les gens de Saint-Jérôme sont les déchets de l'humanité.
Vendredi 10 octobre - vers 16h30, rue Labelle, à partir de la SAQ du centre-ville, une policière complètement débile, folle furieuse, tellement qu'elle a sûrement dû mouiller sa culotte, qui me suit dans son auto blanche; devant le cegep un trou-de-cul de policier qui incitent deux étudiants, etc., etc. - Puis un peu tard, deux autres bandits de policiers dans une auto noire (un il et une elle), qui viennent reluquer devant chez moi... - Bandits de policiers. De la vermine.
Mercredi 8 octobre - encore au Club Vidéotron de Saint-Antoine, une caissière débile, etc., etc.
Vendredi 3 octobre - d'abord au Club Vidéotron de Saint-Antoine, bien sûr, il y avait une bonne femme fasciste de Saint-Jérôme avec un petit garçon, le genre hypocrite, malsaine, puante; survient un trou-de-cul de policier bien sûr, qui vient sentir, pour bien entendu, être le sauveur, celui qui arrive juste à temps pour sauver la pauvre petite femme qui fait tellement pitié. Criss de bandits tous les deux! Et une mère comme ça qui utilise ses enfants pour faire ses mauvais coups, ça devrait être dénoncée à la DPJ.
Un peu plus tard dans l'après-midi, au IGA de Bellefeuille, deux autres bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, dont l'une encore avec un enfant (les mères de Saint-Jérôme sont dégénérées), qui manigancent leurs mauvais coups. Arrive le trou-de-cul de policier, qui les encouragent bien sûr dans leurs méfaits. Criss de bandit!
À la première caisse, il y a la folle de policière qui parlemente avec une caissière. Elle dit: "Il nous a mis dans la merde, il faut qu'il paie pour ça." Ce n'est pas vrai: vous vous êtes mis dans la merde tous seuls. Vous vous pensiez tellement fins, avec tous les droits, et au-dessus des lois; vous n'êtes que des criminels, avec une morale de trou-de-cul, hypocrites et lâches. Vous faites tous vos mauvais coups en hypocrites, et ensuite vous voulez paraître blancs comme neige. Vos bonnes consciences sont répugnantes.
Oui, vous n'êtes que des criminels!
Et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont vos complices!
À la sortie, le puant de policier qui refait son apparition, avec la bonne femme à l'enfant... Puis les deux bandits de policiers, qui zigonnent et circulent dans une voiture rouge. Tas de bandits! Criminels pervers!
Je crois bien que ces deux misérables policiers étaient les deux mêmes dans une camionnette dans le stationnement des sports du Cegep mercredi en fin d'après-midi: elle complètement disjontée et lui hypocrite comme d'habitude. En tout cas, eux ou pas, ceux-ci sont aussi de fameux spécimens de trous-de-culs.
Que dire des employées du IGA de Bellefeuille, des criminels hypocrites aussi! Pour qu'un état ou une ville soit fasciste, ça prend des citoyens complices, aussi criminels qu'eux, rampants, avec une petite morale confortable et puante, lâches... Les employées du IGA de Bellefeuille sont tout cela.
Des êtres petits, méprisables, criminels, hypocrites! tels sont les policiers de Saint-Jérôme. Après, ces bandits-là vont brailler qu'on leur fait une mauvaise réputation. Des bandits, des criminels, tout à fait comparables à des mafiosos... À l'image de la ville de Saint-Jérôme... Une ville fasciste, où les vieilles putes hypocrites et mesquines sont légion... Rien que des choses ordinaires et petites s'y font, les gens y sont des abrutis, puant la bêtise, l'hypocrisie, les visages à deux faces, l'ignorance et le contentement de soi...
Les bonnes femmes de Saint-Jérôme: soyez maudites entre toutes!
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Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste!
Voici des êtres ignobles de Saint-Jérôme:
Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, qui appellent la police aussi souvent qu'elles se grattent le cul…
- La tom boy au gros cul du Marché 5 saveur.
- Les employés criminels du Métro de Saint-Antoine.
- Au IGA de Bellefeuille, les caissières puantes.
- la criss de bonne femme rouleau, pour l'ensemble de son oeuvre.
- Les caissières du marché 4 saveurs sont la pourriture de l'humanité.
- les policiers de Terrebonne, qui sont aussi hypocrites et criminels que ceux de Saint-Jérôme... et les bandits du Unipro feraient bien mieux de payer leurs impôts plutôt que de faire la moitié du travail au noir!
- le brave Claude Poirier, "bien connu des milieux policiers", téteux de beux, qui n'hésite pas à se parjurer... Tiens, un bel article ici de Patrick Lagacé sur ce sombre individu.
- les fachos de banlieue...
- les folles puantes du Maxi de Saint-Antoine ou de Saint-Jérôme.
- les énergumènes de Chez Lorrain, à Prévost.
- les vieilles putes de bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme.
- les bandits du Métro de Saint-Jérôme.
- les sorcières de la SAQ de Saint-Jérôme et de la Caisse populaire.
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Les bandits de policiers sont moins pressés d’arrêter le policier qui a tué une femme à la caisse populaire de Saint-Antoine, ou encore celui retraité de la SQ qui a tué, pour le plaisir, en compagnie de sa femme, un jeune garçon dans un dépanneur de Prévost. Criss de bandits!
Au début des années 90, dans un magasin de musique, au Galerie des Laurentides, à Saint-Antoine, il y avait la vieille pute qui tenait le comptoir, alors que j'étais venu simplement pour acheter une cassette (Richard Desjardins, "Tu m'aimes-tu?", ça situe l'époque!) qui m'incitait à aller agresser un jeune garçon, qui ne faisait que fureter dans les disques, sans qu'il y ait aucune raison de croire qu'il pouvait être dangereux. La vieille pute, naturellement, appelle la police - c'est une habitude chez les vieilles putes de Saint-Jérôme -. Il arrive un criss de bandit de policier, dit deux ou trois mots à la vieille pute, et sans avertir, froidement, dégaine son arme et tue le jeune homme. On a sûrement dit que le jeune voulait faire un hold-up et qu'il avait une arme, le policier avait tiré pour sa défense... Criss de bandit de policiers! Une maudite mafia!
Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste.
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