Samedi 5 avril - au IGA de la rue du Grand-Héron - bien sûr les policiers appelés par ces braves employés, qui, j'en suis sûr, se considèrent dans leur bon droit. Des caissières hypocrites et abruties, des empaqueteux téteux, et une, particulièrement, qui a l'air de faire office de gérante de boîtes de conserve, une sorte d'étron refroidi sorti des enfers...
Arrive à l'intérieur du magasin des insignifiants de policiers, qui reluquent dans les produits laitiers, faisant semblant, comme d'habitude, de s'intéresser aux produits congelés. Criss d'hypocrites. La policière, en particulier, une espèce de brute malsaine, avec un sein plus gros que l'autre... Puis, à la sortie, le criss avec une policière, dans son auto, qui attendent. D'autres policiers juste derrière. Ils ont l'air tellement insignifiants... criss de bandits! Faudrait mettre tout ce monde-là en prison.
Les bandits de policiers sont moins pressés d’arrêter le policier qui a tué une femme à la caisse populaire de Saint-Antoine, ou encore celui retraité de la SQ qui a tué, pour le plaisir, en compagnie de sa femme, un jeune garçon dans un dépanneur de Prévost. Criss de bandits!
Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste.
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