La Bibliothèque électronique du Québec: Des chiens puants de policiers

Samedi 27 septembre - des chiens puants de policiers bien sûr appelés, d'abord au Marché Métro de Saint-Jérôme, un avec un air féroce et une qui fume comme une condamnée, comme si c'était sa dernière cigarette, ils arrivent dans un camion tout déglingué, se stationnent à côté de moi et reluquent... criss de bandits!

Puis ils incitent une vieille complètement débile à essayer de provoquer un accident. Elle me suit sur la rue, elle a l'air d'une vieille folle pourrie. Beuark! il lui manque juste un manche à balai entre les deux jambes, et une citrouille dans la main gauche. Faudrait l'enfermer!

Juste avant chez Rona, des débris de caissières qui incitent un client à m'agresser... À cet endroit, il y avait même un couple de chiens pourris qui mettaient en avant leur petit garçon, eux du genre fous furieux, agressifs, se servant de leur enfant comme prétexte pour vouloir m'agresser. C'est vraiment dire le degré de bassesse où est plongé la ville de Saint-Jérôme. Un endroit maudit de la terre.

Dans l'après-midi, au IGA de Bellefeuille, une espèce de policière débile qui parlemente à la première caisse. Puis dans le stationnement un espèce de truffion de policier qui attend dans sa voiture stationnée près de la mienne; sa face de rat est reconnaissable parmi des miliers. Il a une face de beu, ce qui par ailleurs est tout à fait normal pour un beu. Il y avait aussi deux autres (un il et une elle) qui attendaient à la sortie, dans une auto banalisée bien sûr (quels lâches!), leurs faces de rat aussi reconnaissables... Ils avaient réquisitionné un jeune garçon... Puis une autre dans la rue à côté...

Les deux chiens dans l'auto qui m'attendaient à la sortie, faisaient semblant de magasiner à l'intérieur auparavant, ils vont s'installer à la caisse à côté et incitent la caissière à m'agresser, tout en se tenant prêt à intervenir. Le gars a l'air particulièrement pervers. Criss de puant!

Une des choses que l'on apprend dès le premier jour, à Nicolet, c'est de coller une accusation à quelqu'un qui n'occasionne pas une peine de prison; puis quelques temps plus tard, on va le voir, l'obligeant à commettre un crime, sinon on lui colle une accusation beaucoup plus grave cette fois, étant donné l'accusation précédente. C'est la base du métier de policier, que tout bon policier doit savoir. Et c'est toujours pratique d'avoir quelqu'un qui fait le boulot à notre place.

Toujours dans l'après-midi dans une station d'essence rue Labelle, la vieille policière qui survient, zigonne, puis s'en va... criss de puante!

Tout ce qui compte de puants de policiers était sur le qui-vive en ce samedi... cou donc, ils n'ont rien à faire, ces beus-là! faudrait peut-être en congédier la moitié, pour occuper un peu ceux qui restent.

Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels et des chiens pourris! Bandes de chiens puants!

Décidément Saint-Jérôme est une ville vraiment en dessous de tout et une ville de bonnes femmes fascistes.

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Les policiers de Saint-Jérôme sont vraiment des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste!

Voici des êtres ignobles de Saint-Jérôme:

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, qui appellent la police aussi souvent qu'elles se grattent le cul…

- La tom boy au gros cul du Marché 5 saveur.

- Les employés criminels du Métro de Saint-Antoine.

- Au IGA de Bellefeuille, les caissières puantes.

- la criss de bonne femme rouleau, pour l'ensemble de son oeuvre.

- Les caissières du marché 4 saveurs sont la pourriture de l'humanité.

- les policiers de Terrebonne, qui sont aussi hypocrites et criminels que ceux de Saint-Jérôme... et les bandits du Unipro feraient bien mieux de payer leurs impôts plutôt que de faire la moitié du travail au noir!

- le brave Claude Poirier, "bien connu des milieux policiers", téteux de beux, qui n'hésite pas à se parjurer... Tiens, un bel article ici de Patrick Lagacé sur ce sombre individu.

- les fachos de banlieue...

- les folles puantes du Maxi de Saint-Antoine ou de Saint-Jérôme.

- les énergumènes de Chez Lorrain, à Prévost.

- les vieilles putes de bibliothécaires de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme.

- les bandits du Métro de Saint-Jérôme.

- les sorcières de la SAQ de Saint-Jérôme et de la Caisse populaire.

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Les bandits de policiers sont moins pressés d’arrêter le policier qui a tué une femme à la caisse populaire de Saint-Antoine, ou encore celui retraité de la SQ qui a tué, pour le plaisir, en compagnie de sa femme, un jeune garçon dans un dépanneur de Prévost. Criss de bandits!

Au début des années 90, dans un magasin de musique, au Galerie des Laurentides, à Saint-Antoine, il y avait la vieille pute qui tenait le comptoir, alors que j'étais venu simplement pour acheter une cassette (Richard Desjardins, "Tu m'aimes-tu?", ça situe l'époque!) qui m'incitait à aller agresser un jeune garçon, qui ne faisait que fureter dans les disques, sans qu'il y ait aucune raison de croire qu'il pouvait être dangereux. La vieille pute, naturellement, appelle la police - c'est une habitude chez les vieilles putes de Saint-Jérôme -. Il arrive un criss de bandit de policier, dit deux ou trois mots à la vieille pute, et sans avertir, froidement, dégaine son arme et tue le jeune homme. On a sûrement dit que le jeune voulait faire un hold-up et qu'il avait une arme, le policier avait tiré pour sa défense... Criss de bandit de policiers! Une maudite mafia!

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et Saint-Jérôme est une ville fasciste.

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