jeudi 25 décembre 2008

La criss de bonne femme rouleau

Mercredi 24 décembre, en après-midi. La criss de bonne femme rouleau (ou sa fifille, fifille-la-sucette), qui appelle les beus. Deux autos de beus qui viennent reluquer puis s'en vont, dont l'auto noire de la veille, qui était venue, avec la folle de policière fulmineuse et débile et l'étron de policier... criss de bandits!

En cette veille de Noel, la bonne femme rouleau avait acheté sa dinde butterball. Sa recette est simple: elle prend un grand chaudron, met la dinde dedans sans la laver (ça lui donne du goût), et fait bouillir la bestiole à feu vif pendant six heures. Menoum menoum menoum.

Pour le réveillon, c'était plaisant. La bonne femme rouleau, parlait, parlait, riait fort, la bouche pleine de dinde, et pétant abondamment. Elle avait sorti un bon vin de dépanneur: Château du Grand-Radin.

Mais elle devrait le savoir: chaque année, c'est la même chose: elle digère pas la dinde après minuit le soir, et ça lui prend trois jours à s'en remettre. Maudite dinde butterball!

D'autre part:

Les employés du Métro de Saint-Jérôme sont le déchet de l’humanité.

Les policiers de Saint-Jérôme sont des criminels et les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont leurs complices.


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