mardi 23 décembre 2008

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme

Mardi 23 décembre: deux trous-de-culs au Métro de Saint-Jérôme, à la sortie, une petite dégueue, avec la face comme un derrière, vulgaire et bête, qui manigance quelque chose, tandis qu'un étron de trou-de-cul se tient pas loin, prêt à intervenir. Les employés du Métro de Saint-Jérôme sont le déchet de l'humanité. Et les mêmes chiens de policiers, dans leur 4X4 noir, qui, dans le stationnement, incitent des automobilistes à provoquer un accrochage. Criss de chiens pourris! Bandes de criminels! Fachos répugnants! Faudrait mettre tout ce monde-là en prison.

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, c'est comme cette vieille pute, au Métro de Saint-Jérôme, jeudi dernier, en complicité d'un chien pourri de policier, qui se tient pas loin, mijote de m'agresser, ou de simuler... ce sont aussi les débiles de caissières de ce même endroit...

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, ce sont aussi les employées criminelles des IGA de Bellefeuille ou de celui de la rue du Grand-Poltron.

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme, ce sont encore les bibliothécaires haineuses de la Bibliothèque municipale de Saint-Jérôme.

Des êtres intolérants, puant la haine, hypocrites, malsains, qui appellent la police aussi souvent qu'elles vont chier; des êtres petits, qui ne font que des choses petites, voulant tout rapetisser autour d'elles; des êtres immondes, puant de bêtises, ignorants, téteuses quand elles peuvent soutirer quelque chose.

Les bonnes femmes fascistes de Saint-Jérôme sont complices des policiers criminels.


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